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    Ce blog est en construction il a pour but de défendre les animaux en danger et de défendre les animaux de la maltraitance car peu sont ceux qui savent ce que certaines personnes sont capables de leurs faire !



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  • ASIE : LES ANIMAUX SONT VIVANTS LORSQU'ON ENLEVE LEUR FOURRURE !



    Les chats et les chiens sont massacrés

    Tous les ans, dans plusieurs pays d'Asie, des chats et des chiens sont massacrés par millions de façon archaïque et barbare. Des milliers d'abattoirs "artisanaux" de chiens et de chats fourmillent en Asie : Corée du Sud, Philippines, Chine, Thaïlande, Vietnam, etc. Rien que dans le nord-est de la Thaïlande, on ne tue pas moins de 30 000 chiens par mois. Aux Philippines un petit abattoir artisanal peut tuer plus de cent chats par jour. En détention, les animaux sont entassés dans de minuscules cages insalubres où il leur est pratiquement impossible de bouger.

    Ces animaux sont atrocement torturés : battus, matraqués, ébouillantés vivants, écorchés vivants, étouffés, pendus, électrocutés, brûlés vifs, égorgés, noyés à l'aide de tuyaux d'arrosage, rien ne leur est épargné! Les souffrances infligées aux chiens et aux chats doivent obligatoirement être longues, car selon les croyances de ceux qui consomment leur viande, tous les animaux terrorisés, martyrisés et battus violemment avant leur mort, produisent une montée d'adrénaline qui rend leur viande plus juteuse, plus tendre et aphrodisiaque !

    En Corée du Sud par exemple, dans le domaine alimentaire, les chats sont vendus vivants, pattes liées, sur les marchés locaux et aux différents restaurateurs. Pour enlever leur fourrure rapidement, ils sont jetés vivants dans des casseroles d'eau bouillante, d'autres sont plaçés à plusieurs dans des sacs de jute et frappés violemment contre terre avant d'être écorchés encore vivants et bouillis. Certains vont même les brûler vifs, avec une torche au gaz pour faire disparaître leur fourrure. Gingembre, dates et marrons sont ajoutés à la viande de chats pour en faire la populaire purée: Goyangi-soju.

    On retrouve ces sachets de "chats liquides" dans presque tous les magasins d'alimentation de la Corée du Sud et on vante ses vertus anti-rhumatismale. Toujours en Corée du Sud, on sert dans plusieurs restaurants, des côtes de chiens aux graines de sésame ou des tranches de pénis de chiens, renommés pour leurs vertus aphrodisiaques.

    Les chiens, durant leur détention misérable, ont eu les tympans perforés par certains éleveurs afin qu'ils n'aboient pas!! Ils sont pendus par lente strangulation, battus à coup de masse, écorchés vivants, brûlés vifs sur des braises ardentes, jetés au feu vivants! Ils doivent endurer leur torture plus d'une heure avant de mourir car plus l'animal aura souffert avant sa mort croit-on, meilleure sera sa viande et ses propriétés aphrodisiaques plus efficaces.


    Un gigantesque importateur de produits asiatiques de toutes sortes

    L'Amérique du Nord ferme les yeux !

    Contrairement à plusieurs pays de l'ouest européen qui ont mis un terme à l'importation de peaux et fourrures de chats et de chiens, l'Amérique du Nord, (à part certains États américains) continue de fermer les yeux ! À cause de son indifférence et des profits monstrueux qu'elle fait avec l'Asie, elle nous impose par cette importation asiatique, ces produits de la honte et de la torture qui se retrouvent sur les présentoirs de presque tous nos magasins, que ce soit dans nos grandes chaînes de magasins, boutiques pour touristes, ou " magasins à rabais." De plus, plusieurs commerces asiatiques d'alimentation établis en Amérique du Nord, procurent à leurs clients asiatiques des produits alimentaires ou pharmaceutiques préparés à base de chats ou de chiens.

    Le continent de l'Amérique du Nord est un gigantesque importateur de produits asiatiques de toutes sortes. Presque tout ce que nous achetons en Amérique du Nord est fabriqué en Asie. L'Amérique du Nord encourage des pays qui ne respectent ni les droits ni la dignité de l'homme mais qui en plus sont dépourvus de la moindre sensibilité envers les animaux. chiens.

    AMA - Alliance conte le Massacre Animal


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  • Le 18 février 2009, Garibaldi - selle-français alezan brûlé de 15 ans - a semé ses compères de la Garde Républicaine place de la Concorde (8ème) pour rejoindre son écurie du côté de Bastille (4ème). Six kilomètres à grandes foulées en plein Paris !

    Il est à peine 11h30, les fiers cavaliers de la Garde Républicaine terminent leur patrouille près de l'Elysée à l'angle de l'avenue Marigny et de l'avenue Gabriel dans le 8ème arrondissement, quand tout à coup Garibaldi prend la mouche et se cabre de toute sa hauteur. Pourtant rodé à la circulation parisienne depuis plus de 10 ans, le destrier laisse en plan patrouille et cavalière pour prendre la poudre d'escampette. Quelle mouche l'a piqué, lui d'habitude si tranquille et placide ?


    La garde sur la cendrée de Vincennes © olivd - Fotolia.com

    Le lieutenant-colonel Rousseau se l'explique mal. "Dans ces cas-là", confie le gendarme au quotidien Le Parisien (19/02/09), "soit le cheval reste au milieu de ses congénères soit, au contraire, il cherche à rentrer à son écurie." Ce serait apparemment cette dernière option qu'aurait choisi Garibaldi.

    Une fois sa cavalière à terre, la monture traverse au grand galop la place de la Concorde (8ème), les étriers claquant sur ses flancs tandis que son imper de pluie jaune fluorescent bat au vent. Le cheval prend les quais de Seine et fonce jusqu'au quai des Célestins (4ème). C'est là, boulevard Henri IV (4ème) que se trouvent les écuries de la Garde Républicaine. Garibaldi, lancé à pleine vitesse, frôle les voitures, double les scooters, manquant par deux fois s'étaler de tout son long. Les fers sur la chaussée mouillée font du sol une véritable patinoire.

    Peu avant le Louvre, une voiture de police se hisse à hauteur du cheval. Une jeune policière tente d'attraper les rennes mais rien n'y fait. Complètement paniqué, le cheval poursuit sa course. Il évite une poussette, les passants sur les trottoirs restent sans voix. A hauteur de l'hôtel de Ville, Garibaldi prend à gauche puis à droite pour remonter la rue de Rivoli à contresens ! "C'est un miracle qu'il n'y ait pas eu d'accident", confie-t-on à la Garde Républicaine.
    Le cheval ira jusqu'à l'angle de la rue Saint-Antoine et de la rue Saint-Paul (4ème) où des policiers en civil réussissent à l'arrêter. 

    Exsangue, le cheval se laisse convaincre de monter dans un van. Du sang coule de ses naseaux : comme chez les chevaux de course après un effort violent, ce sont les poumons qui saignent. L'animal vient tout de même parcourir à pleine vitesse plus de 6 kilomètres, soit un peu plus que la distance du Grand-Steeple Chase de Paris ou deux fois et demi celle du Prix de l'Arc de Triomphe ! Le lieutenant-colonel fait le tour de son animal avec une joie teintée d'inquiétude : "Il n'a eu que quelques plaies superficielles. Il s'en tire très, très bien". Ouf !

    Pour voir la vidéo de Garibaldi lâché en plein Paris,
    cliquer ici... 

    Pour plus d'informations sur la Garde Républicaine,
    cliquer ici...

    Source : 30 millions d'amis


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  • Usines à chiots

     

    Au Québec, des centaines d'éleveurs se "spécialisent" dans la production massive de chiens. Des milliers de chiots naissent chaque année dans des élevages surpeuplés et insalubres. La moitié de ces animaux sont vendus au Québec, les autres sont expédiés aux États-Unis et dans divers endroits du Canada.

    Dans cette province canadienne, n'importe qui peut se lancer dans l'élevage de chiots. On peut retrouver des élevages dans un hangar, un garage, une remise intérieure ou extérieure, un sous-sol, un fond de cour, etc.

    Le 19 janvier 2005, le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ) a finalement annoncé l'entrée en vigueur du règlement qui permet l'inspection des lieux de gade, d'élevage et de vente de chiens et de chats. Ce mandat a été confié à ANIMA-Québec en décembre 2004. Ainsi, la section portant sur la sécurité et le bien-être animal de la Loi sur la protection sanitaire des animaux (Loi P-42) est désormais en vigueur. Toutefois, ANIMA-Québec ne dispose à l'heure actuelle, que de trois (3) inspecteurs pour patrouiller toute la province. Et même si, dans les cas extrêmes de cruauté animale, le Code criminel (articles 444 à 447) s'applique, malheureusement, plusieurs des dispositions du Code criminel datent du 19ième siècle et considèrent toujours l'animal comme un objet, ce que déplorent la Fédération canadienne des sociétés d’assistance aux animaux et ses sociétés-membres ( SPCA, SPA, etc.). Selon le Code criminel, seuls les cas pris en flagrant délit et les cas les plus extrêmes de cruauté et de négligence sont considérés. Ainsi, pour obtenir un mandat de perquisition, émis uniquement par un juge, les inspecteurs d'une SPA doivent avoir des preuves formelles et visuelles d'une situation de négligence ou de cruauté. Ils doivent d'abord obtenir une déposition de plainte signée par le témoin qui fait appel à leurs services. Une simple plainte anonyme venant d'un citoyen qui suspecte que des animaux sont victimes de négligence ou de cruauté est insuffisante.

     

    La plupart des éleveurs sans scrupules proviennent de diverses provinces du Canada, là où l'élevage intensif de chiots est interdit. Ils acquièrent des parcelles de terrain ou des fermes situées dans des régions rurales du Québec, près des frontières et loin des voisins.

    À travers le Québec, des centaines de personnes opèrent des usines à chiots. Presque toutes les usines d'animaux sont des endroits insalubres où les chiens ne sont pas nourris à heures régulières et où plusieurs n'ont même pas accès à de l'eau. Le seul motif de leurs mauvais traitements est le profit.

    Certains producteurs peuvent élever jusqu'à 70 races de chiens à la fois. Ils font souvent affaire avec d'autres éleveurs, ou importateurs et exportateurs, vendeurs intermédiaires, courtiers, vendeurs de rue, de marchés aux puces. Leur identité n’est pas connue, ou partiellement connue, et les ventes sont conclues en argent liquide. D'autres producteurs vendent leurs chiots en publiant une annonce dans le journal ou sur Internet. Ils rencontrent alors un acheteur potentiel à un endroit quelconque, qui peut aussi bien être le stationnement d’un centre d’achats ou un parc. De " faux papiers " signés par des vétérinaires " fictifs " affichent leur parfaite santé.

    La misérable vie d'une chienne d'usine à chiots

    Vers l'âge de 5 mois, on enferme une chienne dans une petite cage de métal, de bois ou de plastique où elle passera toute sa vie. Puis, lorsqu'elle débute ses chaleurs, elle est accouplée avec un mâle provenant de la même usine ou d'une usine semblable à la sienne. Environ 60 jours plus tard, elle donne naissance à ses chiots. S'il s'agit d'un grand établissement, la mère mettra bas à même le sol grillagé de sa cage. Mis à part les élevages à grande échelle, il existe aussi des élevages plus petits ou en milieu «familial». Dans ce genre d'élevage, une ou plusieurs chiennes reproductrices peuvent être détenues de diverses façons: en box, bac, boîte en plastique, cage de transport, en liberté à l'intérieur d'une résidence ou encore dans un enclos extérieur. Dans tous les cas, afin d'éviter tout frais superflus au propriétaire, la chienne et ses chiots ne bénéficient d’aucun suivi vétérinaire.

     

    Le Transport des Chiots

    Quand les petits atteignent l'âge de 3 semaines, parfois même plus jeunes, ils sont retirés à leur mère.

    Les chiots sont placés dans des cages de transport empilées les unes sur les autres, à l'intérieur d'un camion qui peut parcourir des milliers de kilomètres. Été comme hiver, sans chauffage ou ventilation, sans eau ni nourriture, les chiots arrivent à un entrepôt où un préposé se charge de retirer ceux qui n'ont pas survécu au voyage, puis il fait le tri par race. Les survivants sont embarqués à nouveau dans un autre camion qui les livre dans diverses animaleries de la province.

    La Mise en Vente

    Une fois parvenus à destination, les chiots sont lavés et parfumés afin qu'ils aient l'air attrayant lorsqu'ils seront exposés dans une vitrine de magasin. La majorité de ces chiots sont tatoués à l’oreille et ils possèdent tous des documents qui certifient la «pureté» de leur race - documents vétérinaires falsifiés par certains vendeurs peu scrupuleux.

    S'il arrive que des chiots malades soient soignés par des vétérinaires, d'autres ne le sont pas car cela reviendrait trop cher au propriétaire de l'animalerie. On les laisse donc mourir. Pour les autres, l'avenir est incertain: plusieurs d'entre eux, traumatisés par la perte de leur mère, les longs transports et le manque de soins souffriront de divers problèmes émotionnels et auront du mal à s'adapter. Séparé trop tôt de sa mère, un chiot, privé en plus de contact humain, peut devenir associable. Il ne s'entend pas avec les autres chiens et n'est pas toujours gentil envers les jeunes enfants. Ces chiots nécessiteront beaucoup d'efforts de la part du maître et plusieurs ne parviendront pas à s’en occuper convenablement. Si certains chiots ont la chance d'être adoptés par des gens soucieux et prêts à les faire soigner et leur consacrer le temps et la patience nécessaires à leur adaptation, d’autres finiront rapidement dans un refuge, un chenil ou seront à nouveau vendus, ou donnés, ou tout simplement abandonnés.

    La petite chienne d'usine, quant à elle, continuera à vivre dans sa misérable cage. Elle aura tous les ans deux portées, laissant ses mamelles distendues et enflées. Faute de nourriture appropriée, d'exercices et de soins, chaque fois qu'elle donnera naissance à des petits, elle s'affaiblira d’avantage. Maigre et sale, elle souffrira de maladies de la peau, de déformations aux pattes, elle perdra ses poils par plaques... Et, après 5 ou 6 ans, devenue incapable de produire d'autres chiots, elle sera tuée par de quelconques méthodes douteuses, noyée par exemple, ou envoyée dans des laboratoires de recherches. Il en ira ainsi des chiens non vendus ou malades.

    Lorsque vous achetez un chiot, un chaton, ou tout autre animal dans une animalerie, un marché aux puces, un chenil, ou par Internet, vous risquez sans le savoir, de financer un commerce extrêmement cruel !

    Il n'est pas rare de retrouver dans des animaleries, des chiots beaucoup trop jeunes, ou d'autres devenus trop gros pour leur cage. Certains ont les yeux qui coulent, d'autres ont la diarrhée, d'autres pleurent sans arrêt ou ont développé des comportements anormaux. Ces endroits sont souvent surchauffés ou trop climatisés et les chiots n'ont pas toujours accès à de l'eau pour se désaltérer. Dans certaines animaleries, les animaux ne peuvent faire aucun exercice et sont confinés dans de toutes petites cages accessibles aux passants qui peuvent constamment les manipuler.

    Les gens qui s’imaginent sauver un petit chien en l'achetant dans une animalerie ne font bien souvent que perpétuer un commerce cruel. Chaque fois qu’un chiot est vendu, il est aussitôt remplacé par un autre. Plusieurs chiots achetés dans des animaleries sont ramenés pour diverses raisons: problèmes congénitaux, respiratoires, insuffisance rénale, dysplasie de la hanche, diarrhée, surdité, problèmes de comportement... Si le chiot est malade ou meurt peu après l'achat, la majorité des propriétaires d'animaleries offriront un autre chiot au client plutôt qu'un remboursement. Si vous tenez absolument à posséder un chien, visitez un éleveur réputé, sérieux et fiable qui se soucie des chiens qu'il élève, qui les aime et les fait soigner quand ils en ont besoin. Même si ces chiots coûtent un peu plus cher, vous aurez au moins la garantie que celui que vous achetez est en bonne santé. Vous seriez également étonnés du nombre de chiots ou de chiens de race que l'on peut retrouver dans les refuges et les SPA. En adoptant dans un refuge, vous contribueriez ainsi à sauver la vie d'un animal qui autrement serait euthanasié.

    (Source et texte intégral : http://aequoanimo.com/usinesachiots.html)


    4 commentaires
  • Salut les gens ! hi hi



    Pseudo : Chevalia

    Date de naissance : 22 Septembre 1994

    Pays/Région : France/Cotes d'Armor

    Mes animaux de compagnie : 3 chats

    Mon animal préféré : Les chats

    Statut/Mission sur ce blog :
    Je suis chercheuse d'image pour uniquement la galerie photo (c'est Mylow qui s'occupe des images qui figureront sur les articles du blog).

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    Je trouve ce blog est important... je vais faire de mon mieux pour trouver de bonnes images... !

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    Mon autre blog : http://chezchevalia.kazeo.com/

    Sur ce blog, je fais des créations/services... !
    Bonne visite !


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